lundi 27 mars 2017

RESSOURCES : La place du vocabulaire dans l’enseignement de la lecture


Le vocabulaire a toujours été le parent pauvre de l’enseignement de la lecture. Pourtant, il s’agit d’un élément clé de la réussite des élèves. Trop souvent l’enseignement du vocabulaire en classe  se limite à faire chercher des mots dans le dictionnaire. Mais l’apprentissage du vocabulaire, on s’en doute, est beaucoup plus complexe. L’école est le lieu privilégié pour en faire un enseignement plus planifier et approfondi. L’objectif est que les élèves acquièrent un vocabulaire juste et précis, connaisse le sens propre et figuré des expressions et sachent différencier les mots de signification voisine.  

1.       L’importance du vocabulaire pour la lecture

Le vocabulaire entretient une relation réciproque avec la compréhension de la lecture : Plus les élèves possèdent un vocabulaire étendu, mieux ils comprennent les textes. Les différences individuelles dans le vocabulaire expliquent une part importante des écarts de compréhension à la fin du primaire.  D’autre part, la lecture peut aider les élèves à enrichir leur vocabulaire : les enfants qui lisent beaucoup apprennent plus de mots nouveaux que ceux qui lisent peu. La contribution des lectures personnelles est le facteur  le plus susceptible d’expliquer  la disparité dans l’acquisition du vocabulaire chez les élèves de la 3e à la 6e année.

2.       Que veut dire connaitre un mot

La connaissance d’un mot s’évalue en degrés et peut être représenté sur une échelle qui va de l’ignorance à la connaissance approfondie.
L’échelle de la connaissance du mot
Degré
Niveau de connaissance
1
2
3
4
5
Aucune connaissance du mot
Connaissance vague
Connaissance partielle
Connaissance acceptable
Connaissance approfondie

Le vocabulaire se définit donc à la fois par son étendu, c'est-à-dire le nombre de mots qui ont une signification pour l’élève, et pas sa profondeur, c'est-à-dire la connaissance des sens multiples d’un mot et l’aisance avec lequel l’élève peut y accéder.  

3.       Les composantes de l’enseignement du vocabulaire

On distingue globalement trois grandes composantes dans l’enseignement du vocabulaire :
1.       Donner le gout des mots à l’élève.
2.       Enseigner des stratégies pour rendre les élèves autonomes dans l’application des mots nouveaux

3.       Enseigner les mots de façon explicite. 

RESSOURCES : La structure du texte informatif


Plusieurs auteurs ont proposé des classifications du texte informatif, mais la plus connue est certainement celle de Meyer qui répartit les textes informatifs selon les relations de base qui y sont contenues. Les textes sont ainsi classes selon qu’ils sont centrés sur :
    a.       La description
    b.      L’énumération
    c.       La séquence
    d.      La comparaison
    e.      La relation entre la cause et l’effet 
     f.        La relation entre problème et solution

La description
Dans un texte descriptif, l’auteur donne de l’information sur un sujet en précisant certaines caractéristiques. L’objet de la description est d’ordinaire présenté dans un premier temps, puis sont donnés les détails qui le caractérisent, notamment la couleur, la forme, etc.

L’énumération ou collection
Dans un texte utilisant l’énumération, l’auteur présente une liste d’éléments lies les uns aux autres par un point commun.

La séquence
Le texte construit selon une structure du type séquentiel présente l’élément en suivant leur ordre d’enchainement temporel

La comparaison
Le texte oriente ver la comparaison met en relief les ressemblances et les différences qui existe entre des objets, des êtres vivants, des situations ou des évènements.

La cause à l’effet
Dans un texte du type  cause et effet, il est possible de dégager une relation causale entre les idées. Une idée  est l’antécédent ou la cause de l’autre idée, sa conséquence ou son effet.

Le problème et la solution

La structure problème et solution ressemble à la structure cause et effet, en ce sens que le problème est l’antécédent de la solution. Toutefois, cette structure  comporte aussi une certaine juxtaposition d problème et de la solution. 

INSOLITE: Des jumeaux qui ne dorment pas la nuit

Les parents de ces frères jumeaux de deux ans peuvent remercier leur système de surveillance domestique de leur avoir prouvé à quel point leur progéniture… se foutait de leur gueule. Pardon mais oui, c’est le terme.  


Alors qu’ils sont supposés dormir la nuit dans leur petit lit à barreaux – NORMAL, ils ont deux ans –, Andrew et Ryan Balkin préfèrent visiblement refaire le monde dans le canapé de leur chambre et repenser intégralement la déco. Leur parents les entendent et les recouchent expressément ? Rien à faire, les petits ressortent du lit et reprennent leur chantier, inépuisables.

La vidéo a été mise en ligne par le père de cette famille de New York, Jonathan Balkin, qui a confié que ses deux fils "avaient commencé à mettre en place cette routine il y a trois mois", au point que sa femme et lui soient obligés de retirer presque tous les objets et coussins de la chambre. Depuis que la vidéo circule massivement sur le Net, il a aussi expliqué être "inondé de messages d’amour". Et il doit en avoir bien besoin, le pauvre.


Je ne sais pas vous mais je me demande quand même ce qu’on peut bien se raconter toute la nuit quand on a deux ans. En tout cas, toute cette histoire ferait une super-accroche scénaristique pour un film d’horreur.

NOUVELLE/ YEMEN : Alerte à la famine


Deux ans après le début de la guerre, les organisations humanitaires tirent la sonnette d'alarme. Saara Bouhouche, chef de mission à Solidarité Internationale, revient de trois semaines au Yémen. Elle s'alarme des manques d'eau et de nourriture pour les civils.


Fin mars 2015, une coalition menée par l'Arabie saoudite intervenait contre les rebelles Houthis, qui s'étaient emparés de la capitale Sanaa. Un conflit sur fond de lutte d'influence entre sunnites et chiites qui place des millions de familles yéménites dans le chaos. Saara Bouhouche, chef de mission à Solidarité Internationale, vient de passer plus de trois semaines au Yémen, afin d'évaluer les besoins sur le terrain et envisager une présence humanitaire sur place.

NOUVELLE/ HAITI : Jovenel Moïse s'oppose à la poursuite de la mission de Gustavo Gallón dans le pays

« Un pays qui se veut ouvert aux investissements, et qui est sur le point d'avoir le retrait d'une mission de maintien de la paix de l’ONU ne doit pas être l'objet d'une supervision quasi permanente », selon un conseiller du président de la République interrogé par Le Nouvelliste sur le renouvellement du mandat de Gustavo Gallón,  expert indépendant des Nations unies sur la situation des droits de l’homme en Haïti. « Les problèmes qui engendrent des violations des droits humains et ces violations elles-mêmes ne sont pas dus à une politique gouvernementale », argue ce conseiller de Jovenel Moïse sous le couvert de l’anonymat.

Les violations des droits humains, a-t-il affirmé, sont dues à des défis structurels. « Par conséquent, les violations couramment identifiées tendront à diminuer avec la croissance économique anticipée. D'ailleurs, il n'existe pas de pays où des violations de droits humains ne soient enregistrées », a soutenu le conseiller du chef de l’État, une façon pour lui de dire que Jovenel Moïse n’entend pas renouveler le mandat de Gustavo Gallón. 

« La vitalité des associations de la société civile témoigne aussi de la volonté du gouvernement de respecter et de faire respecter les droits fondamentaux des citoyens », a avancé notre source proche du Palais national. «  Etant donné la volonté manifeste des autorités haïtiennes d'engendrer une meilleure gouvernance, de favoriser la participation citoyenne, la supervision continue de la communauté internationale, sous toutes ses formes, qui alimente la perception internationale d'un pays instable, sous menace constante de troubles civils, n'a plus sa raison d'être », a-t-elle avancé, ajoutant que une « telle supervision est délétère à un climat propice aux investissements. »

Gustavo Gallón souhaite avoir un autre mandat d’un an

Contacté par Le Nouvelliste,  l’expert indépendant des Nations unies sur la situation des droits de l’homme en Haïti a fait savoir que d’après les déclarations publiques que la représentation officielle d'Haïti a donné au Conseil des droits de l'homme à Genève, « la décision du président de la République de ne pas renouveler son mandat d'expert indépendant ne signifie pas de contradiction ou désaccord avec l'activité qu'il a développée. »

« Au contraire, selon Gustavo Gallón, elles ont apprécié les recommandations que j'ai faites, et se sont engagées, devant la salle du Conseil, à les mettre en œuvre et ont remercié vivement le travail de l'expert indépendant et, particulièrement, son insistance à créer une Commission de Vérité, Justice et Réparation pour les victimes du choléra. »

« J'ai l'impression que le président n'a pas été suffisamment renseigné pour prendre cette décision qui va priver la population  et les autorités haïtiennes du mécanisme le plus aimable de coopération internationale avec Haïti puisque, comme l'indique son nom, c'est développé à travers un expert indépendant, c'est à dire quelqu'un qui ne déploie pas de pouvoir mais qui met au service du pays et du Conseil son expertise en matière des droits de l'homme pour contribuer à améliorer la situation dans ce domaine en Haïti », a expliqué Gustavo Gallón.

Il dit avoir proposé aux autorités haïtiennes et au Conseil de renouveler son mandat pour un an de « façon à accompagner la préparation d'un plan d’action en droits humains et à faire une évaluation du déroulement de ce mandat pour faire le bilan des meilleures leçons et les apprendre si bien qu'elles peuvent être utiles, aussi bien à Haïti qu'au Conseil et à d'autres pays. »

« Je serais toujours prêt à continuer, mais en même temps le Conseil est en liberté de choisir un autre nom si cela aide à préserver le mandat, ce qui est le plus important », a soutenu M. Gallón.

Des organisations de la société civile plaident pour le renouvellement du mandat de Gustavo Gallón

La semaine dernière, plusieurs organisations de la société civile, dont le RNDDH, ont fait toute une plaidoirie en faveur du renouvellement du mandat de Gustavo Gallón.  « Nous, organisations de promotion et de défense des droits humains, avons appris avec stupéfaction que l’actuel exécutif a décidé de ne pas soutenir le renouvellement du mandat de l’expert indépendant sur la situation des droits de l’homme, motif pris de ce que Haïti a besoin de reprendre son indépendance vis-à-vis des autres pays », ont-elles dénoncé dans une note conjointe.

Selon ces organisations, le mécanisme selon lequel l’expert indépendant analyse la situation générale des droits humains dans le pays avant de présenter par-devant le Conseil des droits de l’homme des Nations unies un rapport circonstancié assorti de recommandations ne constitue en rien une menace pour l’indépendance du pays, largement ébranlée par les décisions prises par les autorités étatiques de ne pas allouer un montant suffisant à la réalisation des droits sociaux, économiques et culturels, de faire la sourde oreille à la cherté de la vie et aux conditions générales de détention, de pratiquer la politique de l’autruche vis-à-vis des femmes et des filles victimes de violences sexospécifiques partout dans le pays.

« Nous estimons que ce mécanisme, important pour le pays, est apte à forcer les autorités à prendre des engagements formels pour l’amélioration de la qualité de la vie en Haïti. C’est pourquoi nous entendons manifester notre inconditionnel appui au renouvellement du mandat de l’actuel expert indépendant sur la situation des droits de l’homme en Haïti pour l’année 2017, le sieur Gustavo Gallón qui a joué un rôle important dans le plaidoyer ayant abouti à la reconnaissance par l’Organisation des Nations unies (ONU) de l’implication des soldats onusiens dans la propagation du choléra en Haïti », ont rappelé ces organisations de la société civile.

La décision des autorités haïtiennes ne plaît pas non plus à la Coordination Europe-Haïti (CoEH), un regroupement de 12 organisations et plate-formes d’associations qui travaillent avec des organisations en Haïti. « Les membres de la CoEH considèrent que la situation des droits humains en Haïti reste suffisamment préoccupante pour continuer à faire l’objet d’observations par les mécanismes des Nations unies auxquels Haïti a adhéré », écrit le coordonnateur de la CoEH, Ever-Jean Brouwer, dans une lettre de demande de support aux responsables Caraïbes des représentants auprès de l’Union européenne.

La décision de renouvellement du mandat de l’expert indépendant des droits de l’homme pour Haïti doit prendre effet ce vendredi 24 mars 2017. C’est pourquoi M. Brouwer invite les responsables Caraïbes des représentants auprès de l’Union européenne à agir vite. On ignore si l’appel des organisations de la société civile haïtienne, ajouté à celui de la CoEH, va porter le président Jovenel Moïse à changer d’idée.



jeudi 23 mars 2017

SANTÉ: L’eczéma, prévention et traitement

L’eczéma est la maladie de peau la plus répandue. Il existe deux grands types d’eczéma : l’eczéma atopique (général) et l’eczéma de contact (localisé).
Quels sont les symptômes de l'eczéma ?


- De petites vésicules (au début de l’éruption)
- Des plaques rouges
- Des croûtes de peaux sèches
- Des démangeaisons

Quelles sont les causes de l'eczéma ?
L’eczéma atopique est souvent familial. Il se manifeste le plus souvent dans l’enfance, avant l’âge de 5 ans. L’eczéma de contact apparaît quand un produit irritant entre en contact avec une peau sensibilisée: métal (nickel) ou produit chimique. L’eczéma de contact concerne plus les adultes.
Quelles sont les personnes à risque ?
- Les enfants dont l’un ou les deux parents sont allergiques
- Les personnes allergiques ou dont un membre de la famille souffre d’allergie

Comment prévenir l’eczéma chez les personnes sensibles ?

- En évitant les produits qui décapent la peau (savons, détergents)
- En gérant mieux le stress qui aggrave les poussées d’eczéma
- En utilisant des gants pour les travaux ménagers
- En aérant et dépoussiérant votre intérieur tous les jours
- En évitant de trop chauffer pour ne pas assécher la peau
- En privilégiant le maquillage bio
- En portant du coton plutôt que des matières synthétiques

Comment soigner l’eczéma ?

Pour l’eczéma de contact, il faut éviter le contact avec le produit irritant ou l’allergène incriminé (chocolat, lait (de vache, chèvre), blé, poisson, noix….).
Pour réduire l’inflammation, il est important de nettoyer sa peau avec des produits nettoyants sans savon. Bien hydrater sa peau avec un soin émollient est aussi essentiel.
Les dermocorticoïdes, crèmes à base de cortisone, permettent de soulager les crises aiguës. Votre médecin peut aussi vous prescrire un antihistaminique (eczéma de contact).
Les cures thermales donnent en général de bons résultats.


SANTÉ : Les gras saturés ont-ils un impact sur les maladies cardiovasculaires ?


Demandez à n’importe qui si les gras saturés sont bons ou néfastes pour la santé du cœur et ils vous répondront : «Voyons, ils sont mauvais, tout le monde sait ça!» En effet, le lien entre les gras saturés et la santé cardiovasculaire est connu de tous. Pourtant, de plus en plus de chercheurs remettent en question l’acharnement médical et nutritionnel envers les gras saturés. En effet, l’impact sur la santé ne serait pas aussi dommageable qu’on le pense.


Que sont les gras saturés?

Il existe 24 acides gras saturés différents qui se distinguent par la longueur de leur chaîne de carbone.
Les gras saturés se trouvent principalement dans les produits animaux, comme la viande, le lait ou le fromage, mais également dans certaines huiles végétales, comme l’huile de noix de coco ou de palme. Toutefois, depuis l’industrialisation, les gras saturés sont de plus en plus présents dans l’alimentation, notamment parce qu’ils sont utilisés dans les produits transformés. Les gras saturés à chaîne moyenne et longue sont habituellement solides à la température de la pièce. C’est entre autres pour cette caractéristique et pour leur stabilité qu’ils sont utilisés dans beaucoup de produits transformés.

En quoi sont-ils dangereux?

Dès le début des années 1950, plusieurs études clés ont établi un parallèle entre la consommation de gras saturés et l’augmentation des risques de souffrir de maladies cardiovasculaires. Les gras saturés augmenteraient le « mauvais » cholestérol (LDL-C) dans le sang, ce qui provoquerait, par une série de réactions métaboliques, des dépôts dans les artères qui empêcheraient le sang de bien circuler.

Cette association est bien ancrée dans la tête des professionnels de la santé. La plupart des institutions de santé recommandent de consommer le moins de gras saturés possible. Par exemple, Santé Canada et l’Institut de médecine américaine recommandent de réduire les gras saturés au minimum. De même, l’American Heart Association et la Fondation des maladies du cœur et de l’ACV suggèrent de limiter l’apport en gras saturés à moins de 7% de l’énergie totale. Ces recommandations ont pour but de diminuer les risques de souffrir de maladies cardiovasculaires. Pourtant, de plus en plus d’études remettent en doute ces recommandations et plusieurs chercheurs estiment que nous avons mis trop d’importance sur l’impact de ces gras.

Que disent les nouvelles études?

Une méta-analyse effectuée en 2009 regroupant 28 études de cohorte prospectives (incluant 280 000 participants) n’a trouvé aucun lien significatif entre les gras saturés et la santé cardiovasculaire. De même, le fait d’adhérer à une alimentation où le ratio de gras polyinsaturés/saturés est plus élevé ne semble pas diminuer les risques de maladies cardiovasculaires ou la mortalité.

Des conclusions similaires ont été tirées d’une seconde méta-analyse, publiée en 2010, incluant cette fois 21 études de cohorte prospectives incluant 347 747 participants suivis pendant 14 ans en moyenne.

En 2012, une méta-analyse du groupe Cochrane a, quant à elle, analysé les résultats de 48 essais cliniques randomisés contrôlés (regroupant 65 000 participants).  Le fait de diminuer la quantité de gras de l’alimentation et/ou de modifier le profil d’acides gras de l’alimentation (diminuer les gras saturés au profit des acides gras insaturés) n’a pas eu d’impact sur la mortalité globale ou la mortalité liée aux maladies cardiovasculaires. Par ailleurs, ces changements dans l’alimentation diminuent de 14% les risques d’événements cardiovasculaires. Toutefois, lorsque les études qui modifiaient d’autres aspects de l’intervention en plus des gras (par exemple l’arrêt du tabagisme, la promotion de l’exercice physique, la consommation de fruits et légumes, etc.) étaient retirées de l’analyse, les résultats n’étaient plus significatifs. En bref, il est difficile d’isoler l’effet des gras saturés sur les risques d’événements cardiovasculaires.

Que faire pour prévenir les maladies cardiovasculaires?

Les résultats de ces études bousculent nos croyances face aux effets des gras saturés sur notre santé cardiovasculaire. Ils nous démontrent une fois de plus qu’on ne devrait jamais mettre tous nos œufs dans le même panier en misant sur un élément nutritif en particulier pour diminuer nos risques de maladies. Bien que de diminuer les gras saturés de notre alimentation semble peu efficace pour la prévention des maladies cardiovasculaires, plusieurs recommandations nutritionnelles demeurent valables en ce sens :
 Consommez le moins de gras trans possible. Ces gras ont un impact très néfaste sur la santé cardiovasculaire.
Assurez-vous de consommer des acides gras oméga-3, en mangeant du poisson deux fois par semaine, car ces derniers ont des effets bénéfiques sur la santé cardiovasculaire.
Diminuez votre consommation de sucres ajoutés. Dans le but de diminuer les gras saturés dans les produits transformés, les fabricants ajoutent fréquemment plus de sucres. Malheureusement, ce nutriment, principalement le fructose, est de plus en plus pointé du doigt pour son rôle dans le développement de l’obésité et du syndrome métabolique.
Adoptez une alimentation de type « méditerranéenne ». En effet, il est parfois difficile de pointer spécifiquement l’impact d’un aliment ou d’un nutriment sur la santé. Par contre, il a été démontré à plusieurs reprises que l’adoption de la diète méditerranéenne, qui est naturellement pauvre en gras saturés, protège contre les maladies cardiovasculaires.

Modifiez vos habitudes de vie qui nuisent à votre santé. Arrêter la cigarette ou pratiquer de l’exercice physique quotidiennement procure des bienfaits à la santé cardiovasculaire.

RESSOURCES : La place du vocabulaire dans l’enseignement de la lecture

Le vocabulaire a toujours été le parent pauvre de l’enseignement de la lecture. Pourtant, il s’agit d’un élément clé de la réussite des...